Les Vacances 6: Derniers Jours D’Hôpital, Changement De Cap.

Ce matin j’ai un peu plus de mal à me réveiller vu l’excellente nuit passé avec Christelle. Quand elle vient chercher mon plateau du petit déjeuner, elle me dit que l’on ne se verra plus puisqu’elle a entendu que je devrai sortir lundi matin et qu’elle ne travaille pas ce week end.

Je suis déçu parce que j’ai vraiment passé du bon moment avec elle qui m’ont même fait oublié que je suis dans un hôpital. Je lui demande son numéro de téléphone mais elle ne veut pas se genre de relation, elle refuse même de prendre le mien. Elle m’embrasse une dernière fois sur la bouche très rapidement et sors de ma chambre.

Je ne peux m’empêcher de me dire que le week end va être long sans elle. Je prends mon téléphone pour faire un message à Stephane mon cousin. Je le préviens que je devrai sortir lundi matin et lui demande s’il passera me voir ces prochains jours. Pas de réponse immédiate alors je trouve à m’occuper comme je peux.

Pour couronner le tout c’est la vieille infirmière désagréable qui m’aide à me doucher, cette fois j’ai fait le plus rapidement possible. Le plateau du midi est tout aussi appétissant que les jours précédents, je le prend en photo et l’envoie à mon cousin avec comme légende:
« J’ai besoin de ravitaillements! »

En début d’après midi je reçois enfin une réponse de Stéphane qui me dit qu’il passera tout à l’heure et qu’il fera des courses avant. Enfin les choses évoluent et j’ai hâte de voir sa tête quand je vais lui raconter ma nuit. Mes réflexions sont interrompue par un infirmier qui rentre dans ma chambre, je ne l’ai encore jamais vu.

Il doit être un peu plus grand que moi, brun avec des yeux foncés et de corpulence moyenne. Il est assez banale mais son sourire me fait craquer. Il s’approche de moi, me tend la mains que je serre et me dit:
« Bonjour Mr Romain, comment vous sentez vous? »
Je lui répond un banal « bien » et il ajoute:
« Je m’appelle Marc et c’est moi qui vais m’occuper de vous pendant ces prochains jours! »
Par politesse je lui réponds:
« Enchanté »

Il retourne vers les pieds du lit en examinant mon dossier, puis il soulève le bas du draps et de ma chemise de nuit pour examiner la cicatrisation.

J’en profite pour un peu plus le mater, je pense qu’il doit avoir mon âge et il me semble en fait pas mal musclé sous sa blouse de laquelle je vois quelques poils foncés sortir. Une fois qu’il a finit son inspection, il vient vers le milieu du lit et soulève allègrement le draps et mon pyjama avant de me recouvrir.

C’est pas possible, il l’a fait exprès pour mater mon sexe! Je n’ai pas honte de mon corps au contraire mais mon esprit perverse ne peut s’empêcher de penser que j’ai peut être trouvé un remplaçant à Christelle. Je jette un coup d’oeil sur son son entrejambe et je suis quasiment sur qu’il bande.

Ensuite il me demande si j’arrive à me mettre sur le côté. Je lui répond qu'uniquement sur le gauche et il enchaine en sortant un « parfait ». Puis il me demande de me mettre en position en ajoutant:
« Je vais prendre votre température. »
Je m’exécute mais je ne peux m’empêcher de me dire que depuis bientôt une semaine que je suis là, on m’a souvent pris la température mais jamais de cette manière!

Ca tombe bien ça fait longtemps que je ne me suis pas fait tripoter le cul. Je l’entends mettre un gant puis je le sens écarter mes fesses. Ensuite quelque chose de froid se pose sur mon petit trou, du lubrifiant qu’il commence à étaler. Il ne l’éparpille pas mais me masse la rondelle, je sens même son doigt commencer à me pénétrer.

Je me retiens pour ne pas gémir mais heureusement il le retire rapidement pour y enfoncer le thermomètre, je suis sûr plus que nécessaire. Quand il le fait ressortir, il y va tout doucement et le renfonce un peu avant de le sortir totalement. Après l’infirmière salope j’ai le droit à l’infirmier obsédé mais ce n’est pas pour me déplaire.

Je reste en position, surtout pour cacher mon érection, pendant qu’il note ma température et ponctue d’un:
« Parfait! »
Il prend un gant humide et me nettoie le gel que j’ai entre les fesses, évidement il insiste sur mon petit trou.
Puis je me rallonge sur le dos et mes yeux découvre une magnifique bosse sur son entrejambe. J’ai très envie de mettre ma main dessus mais je retiens.

Quand il arrange mon drap je le vois fixer du regard mon entrejambe mais l’excitation est déjà retombée. Puis il quitte ma chambre en me disant de le sonner en cas de besoin. Une fois que j’ai fini de faire le tour de toutes mes pensées cochonnes je prends mon livre et continue la lecture.

Cette fois je suis interrompu par mon cousin, il m’a amené un sandwich au saumon fumé. Il s’excuse de ne rien avoir trouvé de mieux mais après avoir mordu dedans je lui dis que c’est parfait. Pendant que je continue de manger il range quelques trucs à grignoter dans ma table de nuit et me demande directement:
« Alors comment c’est passé ta nuit? »
Je lui fais un bref résumé parce qu’il est pressé mais ça lui suffit. Il me quitte rapidement mais promet de revenir plus longuement demain.

Quelques minutes après avoir disparu il réapparaît dans l’ouverture de la porte et me dit:
« J’ai oublié mais c’est cool pour ta sortie, ce week end je vais récupère un fauteuil roulant et d’autres trucs dont tu pourrais avoir besoin à la maison.»
Et il disparait à nouveau mais cette fois définitivement.

Je repense à ma prise de température mais aussi à Stéphane. J’ai longtemps fantasmé sur lui, il est beau gosse mais l’idée de baiser avec mon cousin qui est le charmeur de ses dames m’excite beaucoup. Puis cette idée m’avait quitter surtout après sa rupture mais j’ai l’impression qu’elle revient.

Quand Marc m’apporte mon plateau repas il me dit:
« Je sais ce n’est pas bon mais je ne m’inquiète pas j’ai vu que votre ami vous apportez des provisions! »
Et il me fait un clin d’oeil. J’hésite à lui préciser que Stéphane et mon cousin mais je me dis que je préfère qu’il imagine que c’est mon mec alors je lui dis juste:
« Oui il est toujours très attentionné avec moi ».

Ce qui en plus est totalement vrai.

Mon infirmier me sourit et quitte ma chambre, je fouille un peu mon plateau. J’ai le droit à l’habituelle soupe que je repousse tout de suite, je soulève la cloche en plastique pour découvrir du poulet tout blanc et des petits pois carottes, miam! Mais je me rappelle que mon cousin m’a ramené des sachets de sel et poivre alors je l’assaisonne un peu pour manger quelques bouchers de viande.

C’est la copine de Christelle qui vient débarrasser mon plat, quand elle l’examine elle me lance un:
« On voit que Christelle ne fait pas la nuit! »
Elle rigole toute seule et quitte ma chambre. Elle a un joli physique mais elle est vraiment pas drôle! En plus depuis que Marc m’a pris la température j’ai d’autres envies.

Je reprends ma lecture et m’endors sur mon bouquin. Plusieurs fois dans la nuit j’entends quelqu’un rentrer dans ma chambre mais je suis trop dans coaltar pour bouger et je me rendors. Mais cette fois je reste dans un demi sommeil et je sens qu’on soulève mes draps et ma chemise de nuit pendant un long moment.

Je me décide à entrouvrir les yeux et je vois Marc debout à côté de moi avec une main dans son pantalon. Le salaud il est entrain de se branler et je ne peux même pas en profiter. Je remue un peu et je soupir fort en espérant qu’il se décide à me toucher mais ça a l’effet inverse. Il me recouvre et quitte ma chambre rapidement.

Il faut que je trouve une autre méthode! Je ne me rendors pas et un moment plus tard j’entends les gonds de ma porte grincer. Immédiatement je me tourne sur le côté gauche mais mon mouvement à été trop rapide, j’ai un peu mal à ma cicatrice. J’entends Marc, du moins j’espère que c’est bien lui, rentrer tout doucement. Je sens sa présence derrière moi et c’est confirmer quand mon drap se soulève.

Au bout d’un moment il écarte mes fesses à une main, il doit se branler avec l’autre. Je me mets à imaginer sa queue et je commence à bander.
Je sens son doigt, sans gant, venir me tripoter la raie un moment. Ensuite il se concentre sur mon petit trou mais son doigt disparait rapidement.

Mes fesses sont toujours écartées et je sens son doigt revenir mais il est humide cette fois, il a dû le lécher. Il se remet à me masser la rondelle, je me décontracte et pousse dessus pour l’aider à l’assouplir. Son doigt disparait et quand il revient, plus humide, il commence à me pénétrer, je le laisse faire. Une fois que sa première phalange est passée sans trop de difficulté il remue en moi.

Au bout d’un moment quand il sent que je suis bien souple, il enfonce encore plus son doigt. Une fois qu’il est bien au fond je contracte mon cul autour de lui. Quand je relâche il commence à ramoner mais trop rapidement il se met à gémir de plus en plus fort. Son doigt s’arrête, il le retire délicatement, me recouvre et disparait.

Je regrette qu’il n’est pas continué plus longtemps parce que j’aurai peut être joui moi aussi mais c’est un bon début. Je mets un moment à me rendormir et le lendemain matin ce n’est plus Marc qui est dans ma chambre mais encore et toujours la vieille mégère. Par contre aujourd’hui elle est agréable et me confirme même ma sortie pour lundi.

Elle revient un peu plus tard pour m’aider à la douche, je veux essayer de faire le plus de choses possibles seul pour quand j’aurai pas quelqu’un pour m’aider. Ca prend du temps mais j’arrive à m’assoir dans le fauteuil. Je me fais rouler jusqu’à la douche, depuis la veille j’utilise une simple chaise pour rester assis quand je me lave. Je passe de l’un à l’autre aussi seul.

Pendant que je me déshabille elle repousse le fauteuil et je n’ai pas besoin de son aide pour me laver sauf pour le pied droit. Par contre elle me sèche elle même et au moment où sa main s’occupe de mon sexe je crois apercevoir un sourire sur ses lèvres. Je retourne dans la chambre mais je n’arrive pas à retourner sur mon lit même après l’avoir baissé.

Marc reprend son service au moment du diner, vu que je n’ai plus trop grand chose à manger dans ma table de nuit j’assaisonne mon poisson et les légumes et j’en mange une bonne partie, avec du pain ça passe mieux. Heureusement ce n’est pas l’infirmière brune qui débarrasse mon plateau mais Marc, ça m’évite une réflexion.

Quand il quitte ma chambre il m’informe qu’il revient dans quelques minutes pour prendre ma température et me fait un clin d’oeil. En l’attendant je bande d’impatience mais il est trop long alors je prends mon livre. Il ne revient qu’une trentaine de pages plus tard et me demande directement de me mettre en position.

Je me tourne sur ma gauche et je soulève déjà le drap pour lui. Je me replis un peu pour bien cambré mon postérieur. Comme cette nuit avec une main il écarte mes fesses, son doigt plein de gel se pose sur ma rondelle et il commence son massage. Il me sodomise rapidement avec son majeur ou son index, il fait aller et venir son doigt de plus en plus vigoureusement.

Ensuite il le retire délicatement mais au lieu de rentrer le thermomètre il glisse deux doigts directement au fond de mon cul. Il me triture les entrailles pendant un bon moment puis il commence à me limer. Je ne peux m’empêcher de gémir et alors qu’il est toujours resté silencieux je l’entends me dire:
« Je sais que tu étais réveillé cette nuit »

Je ne sais pas quoi répondre, je préfère me taire mais il ajoute:
« Tu sais que tu m’as fait jouir? »
Cette fois entre deux gémissements je murmure un « oui ». Il continue à me sodomiser avec ses 2 doigts, j’ai très envie qu’il les remplace par sa queue mais je me contente de gémir.

Quand je contracte, pour la premier fois, mon cul rempli, il retire son index et son majeur d’un coup secs et dans mon trou bien lubrifié il glisse presque entièrement le thermomètre. Je reste sans bouger plusieurs minutes, le temps me semble très long, si au moins il me caresser les fesses ou la bite en attendant…

Il le dégage enfin, j’attends qu’il le remplace par 1, 2 ou même 3 doigts mais rien. Il me donne juste une fessé et m’aide à me retourner. Je le regarde pendant qu’il examine le thermomètre et me dit:
« Je vois que vous êtes chaud! »
Et il me sourit. En quittant ma chambre il me lance:
« De toutes les façons on se revoit cette nuit. »

Je mets un moment à calmer mon excitation surtout que j’ai déjà hâte d’y être et que je pense qu’à ça mais je finis par m’endormir. On rentre dans ma chambre, j’ouvre les yeux et me relève mais c’est la copine de Christelle. Je fais mine de me rendormir immédiatement pour m’éviter une de ses réflexions, vu mon début d’érection simplement d’avoir pensé que c’était Marc.

Une nouvelle fois je me fais réveiller, cette fois c’est bien lui mais il ne peut pas rester il est juste venu me tâter les fesses quelques instants, je me tourne sur le côté, me tripote un bon moment. Un de ses doigts vient me masser l’oeillet même si je pousse il ne rentre pas. Quand il repart je remarque que son pantalon est bien bombé. J’ai encore plus envie de voir sa queue et du coup plus de mal à me rendormir.

Je me réveille car je sens une main sur ma bite et une autre sur mes couilles. J’entrouvre les yeux pour être sûr que c’est bien mon infirmier particulier et je me laisse cajoler. Je gonfle entre ses doigts et une fois que j’ai atteint une belle taille il me dit sans autre:
« Maintenant que tu es bien réveillé, mets toi sur le côté »
Je me tourne et là aussi j’enlève moi même le drap pour lui exhiber mon derrière.

Comme à chaque fois il écarte mes fesses à une main puis directement il pose son doigt plein de lubrifiant sur ma rondelle. Assez rapidement il essaye de le faire entrer, je suis encore trop serré alors je lui demande d’aller doucement mais pour se justifier il me dit:
« Désolé je n’ai pas trop le temps. »
Il retourne me masser un peu mais rapidement il repart à l’attaque de mes entrailles après avoir rajouter du lubrifiant.

Une fois que le premier doigt est passé, il le fait tournoyer à l’intérieur avant de commencer un va et vient. Il est d’abord délicat mais rapidement ses mouvements sont de plus en plus sec. Je me détend au maximum surtout qu’un deuxième doigt me sodomise aussi. Maintenant que je suis plus détendu je prend vraiment du plaisir et je le manifeste.

Au bout de quelques minutes il retire ses doigts, il me met du gel à l’entrée de mon cul et c’est maintenant avec 3 doigts qu’il m’encule. Une fois qu’il sent que je me suis habitué à cette largeur il fait quelques allers retours rapide et décule ses 3 doigts d’un coup.

Je l’entends ouvrir et dérouler un préservatif, à ce moment je réalise que je ne me suis pas du tout protégé avec Christelle mais surtout que ça fait bien 1 mois qu’on ne m’a pas pris! Il pose son gland à l’entré de ma grotte et commence à pousser. Heureusement qu’il m’a ouvert avec 3 doigts parce qu’il est bien large.

J’ai très envie de me branler mais dans cette position j’ai du mal alors je me concentre sur mon plaisir anal. Marc est entièrement dans mon cul, je sens son corps contre mes fesses, il reste un moment comme ça puis commence à me ramoner avec des tous petits mouvements.

Il est tellement large que ma paroi intérieur est plaqué autour de sa bite, je sens ses veines me racler les chairs. Je du mal à retenir mes gémissements, j’essaye une nouvelle fois de me branler et je me concentre sur mon gland. Ses mouvements, toujours très courts mais maintenant très bestiales, m’empêche de me branler tranquillement.

Du coup je me contente de contracter régulièrement mon cul pour lui donner encore plus de plaisir et à moi aussi. Il s’excite tellement sur moi que de temps en temps il décule complètement mais je ne vais pas me plaindre parce que j’adore sentir sa queue me posséder à nouveau.

De mon méat coule un liquide visqueux qui se répand sur ma cuisse, s’il continue à me baiser ainsi je serai capable d’éjaculer. Il gémit encore plus fort que moi, il se plante au fond de mon cul. Je pense qu’il gicle mais c’est bizarre je ne sens rien, je contracte mon cul mais il me dit difficilement:
« Stop! »
Je lui obéis et je le sens quitter lentement mes entrailles.

Une fois dehors il me demande de me mettre sur le dos. Furtivement il retire totalement mon drap et m’arrache presque ma chemise de nuit. Il monte sur moi en 69 et me donne sa queue à téter alors qu’il se jette sur la mienne. Comme il me baise la bouche je n’ai rien d’autre à faire que de lui caresser les couilles et les fesses. Par contre je suis déçu parce que sa bite est bien large mais elle ne fait pas plus de 10 centimètres de long.

J’essaye de basculer un peu pour qu’il me rentre au moins un doigt, malgré mes mouvements de bassin il ne fait rien. Par contre je ne me prive pas de jouer avec sa rondelle. Quelques minutes après alors que mon doigt le sodomise, il gicle dans ma bouche et sa main sert fort mes couilles. Je suis obligé d’avaler tellement que ma bouche se remplie.

Je continue de le sucer avec encore un peu de son sperme dans ma bouche. Maintenant il me suce divinement pendant que sa main s’occupe de mes couilles. Il m’aspire entre ses lèvres fines et sa langue joue alternativement avec mes veines, mon frein et mon gland. Maintenant qu’il a dégonflé j’arrive à avaler tout son sexe qui baigne encore dans un mélange de salive et sperme. Je continue aussi à lui ramoner très lentement le cul.

Son autre main s’intéresse enfin à mon derrière il me caresse les fesses. Quand son doigt appuies sur mon oeillet, je recrache sa bite et me mets à gémir. Il rentre directement deux doigts en moi profondément. Dès qu’il commence à les faire tournoyer je sens mes couilles se crisper. Marc le sent aussi bien qu’il m’enfonce au plus profond de ma bouche et avale mon jus à chaque nouvelle giclée.

Une fois que je me suis vidé, il continue de me sucer et m’aspirer comme pour être sur de récolter les dernières gouttes. Je lui rend la pareille, même flasque ses veines sont très saillantes et je joue avec. Une fois que sa bouche se calme, il me libère et commence à se soulever. Je l’aspire pour profiter au maximum de son gland et son prépuce.

Il se rhabille et ensuite réajuste mon lit, je remarque par la fenêtre que le jour commence à se pointer. Marc se penche vers moi et nous nous roulons une pelle au goût de nos jus. J’ai envie de le faire venir contre moi mais il doit retourner travailler. Avant de partir il me glisse à l’oreille:
« J’ai vu tes résultats, tes tests sont nickel, j’aurai les miens tout à l’heure alors la nuit prochaine je te baise sans capote. »

Malheureusement pour moi il n’y a pas une de baise sans capote parce qu’il n’a pas réussi à se libérer de la nuit. Le lundi matin quand il a fini son service, il est venue me dire au revoir. Nous avons échanger nos numéros de téléphone et il a promis de venir me rendre visite mais un jour de semaine puisqu’il bosse tous les week ends.

Il a tenu sa promesse mais ça fera l’objet d’une autre histoire….

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